Nouvelles.news présente une vue d'ensemble, relayée par Olympe, et par une journaliste blogueuse de Challenges.
Déjà aux sénatoriales il y a trois mois, on avait vu le produit de cette dernière décennie, marquée par l'"oubli" des femmes : 3 sénatrices de moins !
Faut-il croire que l'UMP refuse constamment de respecter la parité ?
Mais non ! Au contraire : le parti encore majoritaire doit être reconnu pour son profond civisme, dans La Terrible Crise que nous traversons : en tout point il obéit à son encore-chef et taille dans les dépenses superflues de l'État.
Alors que d'autres partis s'évertuent à respecter la loi et à conserver l'intégralité de leur financement public, on reconnaît ceux qui font faire des économies au budget national : moins ils auront de candidates, plus on leur déduira de pénalités.
L'UMP a perdu chaque année depuis les dernières législatives 4 millions d'€ par an (le PS plus paritaire 0,5 M€ seulement), soit 20 millions en tout, pour avoir présenté à peine 30 % de femmes candidates - avec un gros effort par rapport aux 19 % de 2002.
Mais l'effort de 2012 sera inverse : priorité à la réduction du déficit de l'État !
M. Copé aurait tout de même pu faire davantage : une baisse de 30 à 28 %, c'est un peu chiche comme sacrifice. D'autant que ses militantes étaient habituées ; mais les voilà maintenant qui se plaignent en se comparant à la gauche...
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