Ainsi il avait été confirmé que dans les débats en général, les femmes intervenantes se faisaient très fréquemment couper la parole - voire contredire. L'avertissement n'a pas suffi, et en voilà un bel exemple :
On aura du mal à trouver une autre interview aussi caractérisée. Imagine-t-on un journaliste couper brutalement une phrase pour dire NON, puis ré-insister sur la négation ? Et pour affirmer sa "preuve", en appeler au témoignage du public. Patrick Cohen à Ségolène Royal, sur France-Inter : "les auditeurs pourront vérifier", = Madame vous êtes en train de mentir...
Ailleurs il prétend : "j'ai votre citation sous les yeux" !
Qui oserait s'en prendre ainsi par exemple à Frédéric Lefèbvre, Xavier Bertrand, voire.... Nicolas Sarkozy ?
Tous ceux-là sauraient répondre (et comme ils en ont l'habitude) ; heureusement Ségolène Royal peut répondre fermement, car tout le monde pourra heureusement vérifier ce qu'elle a dit - sans avoir eu besoin d'effacer les sites de promesses de 2007.
Et les épreuves de 2007-2008 l'ont renforcée dans sa capacité à tenir face aux attaques. Avec le sourire en prime. Elle fait confiance aux électrices et aux électeurs, tout simplement.
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Eh ben et ça m'étone pas, Ils essaye de la décrédibiliser comme d'hab. http://marylinekafka.wordpress.com/2011/07/06/segolene-royal-aime-les-femmes/
RépondreSupprimerRespect ? Déontologie ? Politesses minimale ??? Bah ! Pas envers une "femme" et surtout celle-là... Les chroniqueurs mâles du matin sur FI sont souvent si sûrs de leur écrasante parole que je m'étouffe souvent sur mon petit-dej. Mais je persiste encore un peu...
RépondreSupprimeren ce moment, c'est plus que s'étouffer : à vomir son café...
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