Je ne passerai jamais sous silence les atteintes aux droits de l’homme au nom de nos intérêts économiques. Je défendrai les droits de l’homme partout où ils sont méconnus ou menacés.
avril 2008, Tunis :
je ne vois pas au nom de quoi je me permettrais, dans un pays où je suis venu en ami et qui me reçoit en ami, de m'ériger en donneur de leçons
Oui, de quoi sauter. Mais pas lui, pas eux... Hélas trois fois hélas... Entendu sur France-CUlture : le problème avec NS est un sérieux problème de GPS....
RépondreSupprimerla politique me traumatise
RépondreSupprimerle jeu d hypocrisie, tout le monde est pris pour un con sachant que tout le monde sait que le monde sait la vérité
et que la stupidité des propos prouve qu' un chauffeur de taxi et une femme de ménage aurait ptetre pu mieux faire!
"traumatise" ? je le comprends pour qui vit en Tunisie, soumis à la crainte de s'exprimer et à toutes les violations de droits.
RépondreSupprimerEn France, ça n'en vaut pas la peine ; c'est même aux citoyen-ne-s d'user de leur liberté pour que le chauffeur de taxi et la femme de ménage puissent "mieux faire", s'ils le souhaitent.
Mais comment vivre dans un monde sans chauffeur-e de taxi ni femme/homme de ménage ? parce que la société a besoin d'eux, il faut leur porter plus de considération.