C'est depuis 1907 qu'elles ont le droit de vote pour leurs représentants, et voilà juste un siècle qu'elles peuvent être élues et siéger aux conseils de prud'hommes - bien avant les droits des citoyennes dans la République.
Pourtant l'image qui en est donnée va avec le nom ; tout ça est souvent bien mâle :
... mais pas que :
Ce vote d'une journée a des conséquences durables : au dernier vote - en 2002 ! - il y avait eu 70 % d'abstention. Le respect du travail passe par un bulletin de vote, aujourd'hui, pour des années.
Cela peut éviter qu'un "intellectuel de gauche" se permette de dire, comme sur i-télé, ce matin :
"D'habitude, quand on voit la CGT dans un combat, on a l'impression que c'est le contraire qui est vrai."
(sic, Franz-Olivier Gisbert)
De 1908 à 2008 la place des femmes atteindra-t-elle la parité ? Notre tri-président (alors candidat) déclarait à l'Observatoire de la parité :
N. SARKOZY : Je me suis engagé, et je suis personnellement attaché, à étendre le principe de parité aux élections aux institutions représentatives du personnel dans les entreprises (sous la forme d’une proportionnalité avec le nombre de femmes présentes dans l’entreprise), aux élections prud’homales et dans les jurys de concours de la fonction publique. La décision rendue par le Conseil constitutionnel le 16 mars 2006 nous a montré qu’une révision de la Constitution constituait un préalable nécessaire. Je m’engage à la faire adopter.
On verra le résultat demain...
Là aussi, pour que leurs droits soient respectés, toutes les femmes doivent voter.
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Cela peut éviter qu'un "intellectuel de gauche" se permette de dire, comme sur i-télé, ce matin :
"D'habitude, quand on voit la CGT dans un combat, on a l'impression que c'est le contraire qui est vrai."
(sic, Franz-Olivier Gisbert)
De 1908 à 2008 la place des femmes atteindra-t-elle la parité ? Notre tri-président (alors candidat) déclarait à l'Observatoire de la parité :
N. SARKOZY : Je me suis engagé, et je suis personnellement attaché, à étendre le principe de parité aux élections aux institutions représentatives du personnel dans les entreprises (sous la forme d’une proportionnalité avec le nombre de femmes présentes dans l’entreprise), aux élections prud’homales et dans les jurys de concours de la fonction publique. La décision rendue par le Conseil constitutionnel le 16 mars 2006 nous a montré qu’une révision de la Constitution constituait un préalable nécessaire. Je m’engage à la faire adopter.
On verra le résultat demain...
Là aussi, pour que leurs droits soient respectés, toutes les femmes doivent voter.
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