"Les deux challengers n'hésitent plus à s'invectiver. Jusque-là, ils avaient toujours laissé cette besogne à leurs lieutenants. Ségolène Royal a qualifié mardi Nicolas Sarkozy de «menteur» après que celui-ci l'a accusée de l'avoir «traité d'ignoble» et de «soutenir les fraudeurs»."
Et tout le commentaire est sur ce ton : "ils" . On n'écoute pas, on ne juge pas, on est au spectacle et - dans les spectateurs - Bayrou, à peine intéressé quand il en rajoute une couche.
À quoi sert d'être journalistes si ce n'est pas pour vérifier les informations : sur ce qu'a dit d'abord Sarkozy, Ségolène Royal avait-elle de vraies raisons pour l'accuser de mentir ? Cela devrait être simple.
Le Monde s'est lancé dans la même opération. Si bien qu'un des abonnés du journal demande simplement que les journalistes fassent leur métier : l'information en vérifiant, et le commentaire seulement après.
On aura tout fait, à Ségolène ! Mais faire passer un qualificatif juste, pour un "nom d'oiseau"...
Au fait, que disait Giscard de Chirac ?
vous le trouvez devant l'étagère aux confitures, des pots ouverts, vidés ; la confiture dégouline de l'étagère, des pots, Chirac en a plein les doigts, les lèvres, et il déclare :"non, je n'aime pas les confitures" !
Chirac aura un digne successeur, si Sarkozy gagne. Non !!!!!!
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