k.o. couché, ils s'en prennent...

Après hésitations, et avant le changement de une du Nouvel Obs, fanchon se décide :

Depuis la semaine dernière, personne ne l'a signalée, dans sa sobriété expressive. Même des lecteurs ne l'avaient pas remarquée...

Aujourd'hui elle est encore plus vraie, même si l'intéressé fait semblant de bouger encore après le gong.
Mais les dégâts sont sans doute irréversibles à long terme. Et l'on entend le "soulagement" de son camp après l'uppercut envoyé par les citoyens.

Et chacun de se libérer en donnant des conclusions diverses. C'est dans l'adversité qu'on reconnaît ses amis...

Yves Jego (UMP, ex-envoyé spécial en Guadeloupe) à propos de Marie-Luce Penchard (UMP et encore au gouvernement) qui lui attribuait la responsabilité de sa défaite dès le 1er tour :
"Je ne me suis jamais exprimé sur celle qui m'a succédé, je n'ai pas vocation à être le bouc émissaire d'une ex-collaboratrice de cabinet qui a manifestement bien des difficultés à endosser l'habit de ministre et qui ne semble pas supporter le jugement du suffrage universel", et
"Mme Penchard, qui faisait déjà en Guadeloupe le petit score de 24% aux élections européennes juste avant d'entrer au gouvernement, perd 10 points dans les 9 mois qui suivent sa nomination... Si elle doit s'en prendre à quelqu'un, c'est à elle-même !"

Quant à Cécile Duflot, la nouvelle étoile de gauche, elle a été claire, à propos de la taxe carbone - sur le fond et sur la forme :
Le premier ministre est capable de dire aux députés UMP que le Président de la République n'a pas de parole.... Quand on n'a pas de courage politique, et quand on n'a pas de parole, il faut s'en prendre qu'à soi-même".

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