Dominique la bloggeuse romantique a judicieusement retrouvé un poème de Byron, évoquant une situation semblable il y a exactement 195 ans. Le volcan indonésien Tombara fit bien plus de ravages que l'actuel petit Eyjafjöll - sauf s'il venait à réveiller son gros voisin Katla, plus dangereux.
Le poète voyageur Byron n'avait pas de météo-volcanologues sous la main, seulement une plume. Il écrivit donc Darkness. L'inspiration poétique et dramatique aidant, personne ne peut dire si l'imagination d'il y a deux siècles risque de décrire la réalité de 2010. On souhaite que non...
Merci à Dominique qui a exhumé le sombre poème et en donne une traduction sur son blog. Bon dimanche noir, sous notre soleil de printemps !
Et pour ceux et celles qui se trouvent "cloués" à Paris, une bonne idée : pour un mois encore, le merveilleux ami Turner s'expose au Grand Palais. De la lumière plein les yeux !
(en 1817 c'était aussi le Vésuve, à Naples)
* le (très) bon côté des choses : alors que les expulsions semblaient redoubler depuis la fin de campagne électorale, les aéroports sont aujourd'hui tous fermés en France. Donc plus de charters vers le Mali ou ailleurs ! merci le nuage, mais restons mobilisé-e-s avec RESF, car les CRA (Centres de rétention administrative) continuent de se remplir...
* le (très) bon côté des choses : alors que les expulsions semblaient redoubler depuis la fin de campagne électorale, les aéroports sont aujourd'hui tous fermés en France. Donc plus de charters vers le Mali ou ailleurs ! merci le nuage, mais restons mobilisé-e-s avec RESF, car les CRA (Centres de rétention administrative) continuent de se remplir...
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